Groupe de recherche pour les adolescent·e·s et adultes autistes (GRAADA)
Le GRAADA contribue aux efforts de diffusion et promotion de la recherche pouvant intéresser les différentes parties prenantes en autisme.
Il s’agit d’assurer la qualité et la rigueur des écrits diffusés, de les rendre accessibles, disponibles pour les parties prenantes (personnes autistes et les membres de leur entourage, cliniciens, étudiants, chercheurs, grand public) et de promouvoir les activités de recherche réalisées afin de faciliter le recrutement ainsi que le transfert et la mobilisation des connaissances.
Ce faisant, le GRAADA cible la démocratisation des connaissances pour encourager le déploiement d’interventions offertes aux adolescent·e·s et adultes autistes, appuyées sur les données probantes.
Les fondatrices
Stéphanie-M. Fecteau, Ph.D., ps.ed.
Professeure agrégée au département de psychoéducation et psychologie de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), campus de St-Jérôme
Les projets de recherche de la professeure Stéphanie Fecteau visent à mieux comprendre le vécu des adolescent.e.s autistes et celui de leur parent, grâce à une approche combinant des facteurs physiologiques et psychosociaux. Elle s'intéresse à la validation d'intervention en prévention de stress chronique, dans un contexte de partenariat avec les milieux de la pratique et les personnes autistes.
Pour en savoir plus :
Claude L. Normand, Ph.D.
Professeure agrégée au département de psychoéducation et de psychologie à l'UQO, au campus de Gatineau.
Ses recherches portent sur le développement de l’enfant, des adolescents et des jeunes adultes autistes ou ayant une déficience intellectuelle (DI).
Par-dessus tout, elle cherche à comprendre les obstacles et facilitateurs à leur participation active et valorisante dans la société. Ses travaux les plus récents concernent leurs relations et activités dans le monde numérique, grâce aux technologies de la communication et aux médias sociaux.
Pour en savoir plus :
Marie-Hélène Poulin, Ph.D., ps.ed.
Professeure titulaire à l’École de psychoéducation de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT).
Ses intérêts de recherche se situent autour de quatre axes principaux : 1) le développement d’outils pour sensibiliser la population et accompagner les jeunes neurodivergents et leurs proches; 2) les modes d'accompagnement des intervenants œuvrant dans les services sociaux; 3) les pratiques favorisant la participation sociale des jeunes adultes autistes et 4) les problématiques psychosociales pouvant affecter la trajectoire développementale des personnes autistes (ex: dépendances, judiciarisation).
Ayant travaillé plusieurs années en tant que psychoéducatrice, elle tente d’arrimer l’objet de ses projets de recherche aux besoins exprimés par les milieux de pratique, les intervenants, les organismes et les personnes concernées.